Ressources françaises

Mise à jour : 8 juillet 2021. Page en cours de de création.

De très nombreuses vidéos, rassemblées par thème,
sont à votre disposition sur notre chaine YouTube

Sites

CRIIREM – Centre de Recherche et d’Information Indépendant sur les Rayonnements Électro Magnétiques non ionisants
Danze-JM-Biophysica
EHS & MCS

Dr Gérard Dieuzaide
Non au mercure dentaire

Éleveurs sous tension : Site d’alerte et de prévention sur les effets des ondes électromagnétiques de forte puissance sur les élevages d’animaux.

Cartoradio : Site (pas toujours à jour) permettant de localiser les antennes-relais.

Voir aussi les sites des associations et collectifs français.

Blogs

Bio-protection (blog participatif)
Chasseur d’ondes
EcoOndes (page Vacances sans Wi-Fi)
EHS-Action
EMOV – Victimes des Ondes Électro Magnétiques
Gigasmog (CH)
Hypersensible aux (((ondes)))
La faille est dans le pré
L’errance d’un électrosensible
Mieux Prévenir (CH)
Nomana (page Électrosensibilité)
Ondelio
Pierre Dubochet (CH)

Articles et documents

Près de 5% de Français, majoritairement des femmes, se plaignent de maux attribués aux ondes émises par les Smartphones, le Wi-Fi etc. Une situation inconfortable qu’ils peinent à faire reconnaître…


2019.06.21 – Effets sanitaires liés à l’exposition aux champs électromagnétiques basses fréquences

L’ANSES publie ce jour une nouvelle expertise sur les effets sanitaires liés à l’exposition aux champs électromagnétiques basses fréquences. Au regard des données disponibles, l’Agence réitère ses conclusions de 2010 sur l’association possible entre l’exposition aux champs électromagnétiques basses fréquences et le risque à long terme de leucémie infantile, ainsi que sa recommandation de ne pas implanter de nouvelles écoles à proximité des lignes à très haute tension. Par ailleurs, l’Agence souligne la nécessité de mieux maîtriser l’exposition en milieu de travail pour certains professionnels susceptibles d’être exposés à des niveaux élevés de champs électromagnétiques, et parmi eux tout particulièrement les femmes enceintes.


2019.03.18 – Enquête sur les effets des CEM sur la santé

Ces personnes décrivent les symptômes d’une maladie due aux rayonnements de micro-ondes qui pouvait être prédite grâce à des décennies d’études scientifiques internationales. Faites parvenir ce rapport aux médecins et aux décideurs. Essayez une solution que vous n’avez pas encore essayée. Ayez plus de compassion envers les personnes plus touchées que vous. Comprenez que tout le monde n’est pas également affecté. Nous ne cessons d’entendre les mêmes choses. « Je menais une vie normale jusqu’à ce que des compteurs intelligents soient installés sur mon mur… jusqu’à ce qu’une grande tour de cellulaire soit construite près de chez moi…. jusqu’à ce que soient installés plusieurs routeurs sans fil à mon bureau. Ma famille n’a pas compris ce que je vivais. Il m’a fallu du temps pour comprendre ce qui me rendait malade. Cela a déstabilisé mes relations. J’ai perdu ma liberté… »


2018.05.31 – Effets sanitaires thermiques et non thermiques des rayonnements non ionisants de faible intensité : état des lieux international

Résumé : L’exposition aux champs électromagnétiques basses fréquences et radiofréquences de faible intensité représente un risque considérable pour la santé qui n’a pas été convenablement abordé par les organisations nationales et internationales telles que l’Organisation mondiale de la Santé. Il existe de solides preuves que l’exposition prolongée aux fréquences de téléphonie mobile sur de longues périodes augmente le risque de cancer du cerveau à la fois chez les humains et les animaux. Le(s) mécanisme(s) responsable(s) implique(nt) une formation de dérivés réactifs de l’oxygène, une modification de l’expression des gènes et altération de l’ADN à travers des processus épigénétiques et génétiques. Des études in vivo et in vitro démontrent des effets néfastes sur la reproduction masculine et féminine, s’expliquant probablement par la production de dérivés réactifs de l’oxygène.

De plus en plus d’éléments tendent à montrer que les expositions peuvent provoquer des déficits neurocomportementaux et que certaines personnes développent un syndrome d’“électro-hypersensibilité” ou “maladie des micro-ondes”, qui est l’un des différents syndromes communément classés sous “intolérance environnementale idiopathique”. Bien que les symptômes ne soient pas spécifiques, de nouveaux indicateurs biochimiques et des techniques d’imagerie permettent des diagnostics qui excluent que les symptômes soient seulement psychosomatiques. Malheureusement, les normes établies par la plupart des organismes nationaux et internationaux ne visent pas la protection de la santé humaine. Ceci est particulièrement préoccupant chez les enfants, compte tenu de la rapide expansion de l’usage des nouvelles technologies sans fil, de la plus grande sensibilité de leur système nerveux en développement, de l’hyperconductivité de leurs tissus cérébraux, de la plus grande pénétration des radiofréquences par rapport à la taille de leur tête et d’une exposition potentielle durant toute la durée de leur vie.


2018.03.27 – Hypersensibilité aux ondes électromagnétiques : amplifier l’effort de recherche et adapter la prise en charge des personnes concernées

L’Agence publie ce jour les résultats de son expertise relative à l’hypersensibilité aux ondes électromagnétiques. Ce travail s’est appuyé sur l’ensemble de la littérature scientifique disponible, ainsi que sur un grand nombre d’auditions : médecins hospitaliers et généralistes, chercheurs, associations et personnes concernées. L’expertise met en évidence la grande complexité de la question de l’électro-hypersensibilité (EHS), tout en concluant, en l’état actuel des connaissances, à l’absence de preuve expérimentale solide permettant d’établir un lien de causalité entre l’exposition aux champs électromagnétiques et les symptômes décrits par les personnes se déclarant EHS. Par ailleurs, l’Agence souligne que la souffrance et les douleurs exprimées par les personnes se déclarant EHS correspondent à une réalité vécue les conduisant à adapter leur quotidien pour y faire face. Dans ce contexte, l’Agence recommande une prise en charge adaptée des personnes concernées ainsi que la poursuite des travaux de recherche, notamment en mettant en place des études dont les conditions expérimentales prennent en compte les conditions de vie des personnes se déclarant EHS.